Pression sécuritaire, cambriolages et agressions incite les élus de tous bords à proposer voir à hâter des projets d'installations vidéo dans leurs communes. Ils devront alors veiller à concilier les objectifs de sécurité publique avec la protection de la vie privée et le respect des libertés individuelles (Loi du 6 janvier 1978 « informatique et libertés » et doivent être déclarés à la CNIL. Les seconds relèvent d’un régime d’autorisation administrative préalable prévu au Code de la sécurité intérieure)
La vidéoprotection a de l'avenir en France. Avec déjà plus de 700.000 caméras sur la voie publique, certains voient dans ces caméras un instrument providentiel.
Big Brother ou pas ? quel équilibre entre sécurité et liberté ? votre avis nous intéresse !
Collectif citoyen sur l’agglomération de Sénart, et bien plus encore... #environnement, #citoyenneté, #Seine-et-Marne
Vidéoprotection, un débat idéologique
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70 003 exactement pour la voie publique, plus 827 749 pour les lieux ouverts au public (commerces par exemple) chiffres du rapport 2011 du Ministère de l'intérieur
RépondreSupprimerQuel contrôle ? Quel régime juridique ? Même la CNIL à du mal cadrer cela, et nos élus locaux ?